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Pardon de Ty Mamm Doue Bagad Ar Re Goz
Cornouaille

Un pardon est une forme de pèlerinage typiquement bretonne et une des manifestations les plus traditionnelles de la foi populaire en Bretagne. D'origine très ancienne, puisque probablement liés à l'évangélisation du pays par les moines celtes, dès le ve siècle, ils s'apparentent aux « parades » de la Saint Patrick en Irlande ou à New York.

Le pardon typiquement religieux

Comme l'indique son nom, un pardon s'inscrit dans une démarche pénitentielle chrétienne : les catholiques se rendent en pèlerinage soit sur la tombe du saint, soit en un lieu qui lui est dédié, en raison d'une apparition, comme à Querrien, ou de la découverte plus ou moins miraculeuse d'une statue, comme à Sainte-Anne-d'Auray. Des paroisses, des mouvements ou des corporations s'y rendent en corps constitués, portant force bannières et croix de processions, toutes plus magnificentes et ouvragées les unes que les autres.
Le déplacement jusqu'au lieu de rendez-vous, comme la procession, traduisent le désir de se mettre en marche pour obtenir du saint fêté, en offrant les fatigues du chemin, qu'il intercède pour ses pèlerins. Ceci est à rapprocher de la conviction de foi chrétienne que la condition humaine sur cette terre est une pérégrination vers le Royaume du Ciel, Nouvelle Terre promise. Dans cette logique, les pèlerins sont invités à se confesser de leurs fautes aux prêtres présents, avant de participer à la messe, souvent suivie des vêpres solennelles. Une fois l'absolution accordée, il faut se réjouir et il n'est pas de vrai pardon sans dimension festive, qui peut prendre la forme d'une kermesse ou même d'une fête foraine.
Le président du pardon, souvent un ecclésiastique du haut rang, porte le nom de « pardonneur ». Lorsqu'il en existe, il portera pendant une partie de la procession les reliques vénérées. Cet honneur échoit, pendant le reste de la marche, à ceux qui en ont été jugés les plus dignes ou les plus symboliques des groupements représentés.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Pardon_(cérémonie)

sur le site http://bagad-ar-re-goz.com/

Quand notre peau est imprégnée de ces airs qui nous ont bercés , qui nous ont fait rêver , qui ont marqué chaque moment de notre existence , notre bonheur est de les faire partager à tous , et faire en sorte qu'ils ne tombent pas dans l'oubli

Notre bagad naquit en 1973
D'anciens sonneurs imaginèrent un groupe de "copains" pouvant se produire " à l'ancienne" avec le répertoire qu'ils exécutaient dans les années cinquante ..( Ar Re Goz pouvant se traduire par " les Anciens " ) Pour perpétuer ces airs et éviter qu'ils ne sombrent dans l'oubli , quoi de mieux que de les enregistrer sur un CD : chose faite et procurable auprès de notre responsable depuis octobre 2001 . Alors que les répétitions et la conception de leur production se déroulent chaque semaine à Quimper , lors de spectacles exceptionnels , les sonneurs un peu excentrés n'hésitent pas à venir renforcer le groupe des accents des Côtes d' Armor , du Morbihan ou d'Ille et Vilaine , apportant virtuosité et diversité souvent oubliée de nombre d'entre nous , le "Top" se manifestant sans conteste au Festival de Cornouaille en fin juillet à Quimper .
Depuis , le groupe a eu le plaisir de participer dans divers points de France et au delà des frontières , à des manifestations folkloriques et de traditions populaires auxquelles ils surent ( et savent toujours ) apporter authenticité , originalité et bonne humeur .
Si vous les rencontrez au détour d'un défilé , sur une scène , vous découvrirez cette diversité : chacun a amené de son terroir d'origine l'habit des anciens qui illustre une petite carte de notre pays  la Côte ou l'Intérieur , où Glazicks ou Mélénicks côtoient Plougastellis ,Gars de l'Aven, Bigoudens ou Pontyviens...

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Copyright: Dieter Kik
Type: Spherical
Resolution: 8434x4217
Taken: 04/07/2010
Subida: 07/09/2010
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Tags: chapelle ty mamm doue; eglise gotique; danse breton; bagad; music; natur
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Cornouaille Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Capitale historique Quimper Langue(s) Français - Breton Religion Catholique Superficie 5 979 Km² Population 456 307 (1999) Gwenn ha du.svg Portail de la Bretagne La Cornouaille (Kernev, Bro Gernev en breton) est un pays de Bretagne (à ne pas confondre avec la Cornouailles britannique, dont le nom s'écrit avec un "s"). Le gentilé de la Cornouaille bretonne est cornouaillais  e (le gentilé de la Cornouailles britannique est cornique). Étymologie Cornouaille se dit Kerne, Kernev ou Bro Gerne en breton, et Cornugallia en latin, parfois « Cornubia ». * Il est possible que ce nom lui ait été donné en référence à cette région de Cornouailles (Kernow), tout comme l'actuel Devon (ancienne Dumnonia) a donné son nom à la Domnonée qui désignait la côte Nord de la Bretagne au Haut Moyen Âge. * Selon une autre hypothèse qui a eu longtemps cours, le nom serait d'origine anglo-saxonne et signifierait « Le pays des étrangers » en référence au cantonnement des Celtes d'Outre-Manche par les envahisseurs angles, saxons, jutes et frisons. * Une troisième hypothèse, basée sur la traduction latine cornugallia, est invoquée par certains auteurs : cornugallia signifierait le coin de la Gaule, relativement à la situation géographique de la Cornouaille bretonne. Antiquité tardive Les deux Cornouaille(s) trouvent plus vraisemblablement leur origine commune à la fin du IIIe siècle : les incursions de pirates saxons, frisons et scots, associées aux pillages des bagaudes, contraignent les villes armoricaines (entre autres) à s'entourer en urgence de murailles dont les restes se voient encore à Alet, Brest, Nantes, Rennes et Vannes. Devant l'incurie de l'empire romain, le responsable de la défense des côtes, le ménapien Carausius (puis son successeur Allectus) établit entre 288 et 296 un empire séparé sur les côtes nord et sud de la Manche pour les garantir des invasions. L'empereur Constance Chlore les vainc en 293 et 296 et, ayant rétabli l'unité de l'empire de ce côté, organise la défense côtière en transférant des Bretons en Armorique à partir de 296-297. Ces Bretons sont des Cornovii, peuple sans doute fidèle à Rome et choisi pour ce motif. Le chef-lieu de leur cité est à Viroconium Cornoviorum (l'actuelle Wroxeter) et ils occupent plus au nord le port de Deva (Chester). Les Cornovii étant chargés du contrôle militaire des pointes occidentales de la Bretagne et de l'Armorique, c’est-à-dire de l'ouest de la Manche, leur nom se serait conservé en ces lieux. Il ne s'agit donc pas d'une colonisation massive comme cela arrivera au VIe siècle, mais d'une occupation militaire. Le Tractus armoricanus et nervicanus (administration militaire chargée du contrôle de toutes les côtes de Boulogne à la Gironde), et son bras armé, la Classis armoricana (Flotte armoricaine), ne sont créés proprement qu'en 370, sous le règne de l'empereur Valentinien Ier. Haut Moyen Âge D'autres princes sont dits avoir régné sur les côtes nord et sud de la Manche occidentale, comme le roi de Cornouaille Daniel Drem Rud au VIe siècle, et le fameux comte Conomor assimilé au roi Marc de la Cornouailles britannique (Marcus Cunomorus). Entre 815 et 839, Egbert annexe le royaume breton de Cornouaille. La Cornouaille armoricaine est mentionnée pour la première fois et indirectement entre 852 et 857 quand « l'évêque de Saint-Corentin », Anaweten, est qualifié de Cornugallensis (adj. latin dérivé de Cornugallia). L'existence d'une commune d'Anjou dénommée « La Cornuaille » a suscité une hypothèse qui en ferait une appellation géographique ou militaire couvrant toute la Bretagne du Sud et faisant pendant à la Domnonée sur le rivage Nord au VIe siècle ou VIIe siècle. Formation de la Bretagne Au IXe siècle, il semble que le nom de Poher (pour Pou-Caer = Pays de la Ville ou Pays du Château ou Pays de Carhaix) se soit substitué à celui de Cornouaille. Par la suite, il fut réservé à la vallée de l'Aulne, dont la capitale était Carhaix. À la fin du IXe siècle, le comté féodal de Cornouaille reprend le nom de l'ancien royaume. Sa dynastie accède au trône ducal, il passa à l'évêque de Quimper qui devient comte-évêque de Cornouaille jusqu'au XIe siècle où deux frères s'en répartissent les dignités. La Cornouaille de nos jours Composée de 218 communes (sur la base des communes actuelles), la Cornouaille comptait - au dernier recensement de 1999 - 456 307 habitants pour une superficie totale de 5 979 km². Le nom a été repris officiellement en 2001 pour sa partie au sud d'une ligne Châteaulin-Scaër pour la circonscription de programmation « Pays de Cornouaille » composée de 112 communes (loi Voynet, 1999)


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