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route autoumne et Chinese Girl Ping Pong Quimper 7900
Cornouaille

Le Ginkgo biloba ou « arbre aux quarante écus » ou « arbre aux mille écus » (银杏 yínxìng en chinois) est la seule espèce actuelle de la famille des Ginkgoaceae. Il est la seule espèce actuelle de la division des ginkgophyta. On en connaît sept autres espèces maintenant fossiles et le ginkgo est considéré comme une forme panchronique. C'est la plus ancienne famille d'arbres connue, puisqu'elle serait apparue il y a plus de 270 Ma. Elle existait déjà une quarantaine de millions d'années avant l'apparition des dinosaures.

Le Ginkgo biloba est naturalisé dans le sud-est de la Chine dans les Monts Tianmushan. Il s'agit d'une espèce cultivée, la version sauvage ayant presque complètement disparu1. De là, il arrive au Japon et en Corée aux alentours du xiie siècle.
Engelbert Kaempfer, médecin et botaniste allemand séjourna au Japon de 1690 à 1692 en mission pour la Compagnie des Indes néerlandaises. Il fut le premier Européen à avoir fait une description de cet arbre dans son mémoire Amoenitatum exoticarum (publié en 1712)2.
Il rapporta des graines de Ginkgo en Hollande et c’est dans le jardin botanique d’Utrecht que le premier Ginkgo européen aurait été semé en 17302.
Un amateur français, le chevalier de Pétigny, acheta à la fin du XVIIIe siècles les premiers pieds de ginkgo pour la somme considérable de 200 livres, soit 40 écus d’or d'ou le nom de l'"arbre aux 40 écus". Aujourd'hui, on estime que la plupart des vieux gingkos bilobas qui poussent en France sont issus des arbres du chevalier de Pétigny dont la propriété de famille ; Le château de la Touche-Hersant (28200 LANNERAY)est toujours détenu par ses descendants.[réf. nécessaire]
Le premier pied de Ginkgo biloba en France a été apporté par Auguste Broussonnet (1761-1807) qui l'avait reçu en présent de Sir Joseph Banks (1743-1820). Broussonnet le donna alors à Antoine Gouan (1733-1821) qui le planta dans le jardin botanique de Montpellier3 en 17782. Il donna pour la première fois des graines le 12 avril 1812. En 1795, une bouture prise sur ce ginkgo de Montpellier est plantée au Jardin des plantes de Paris. Ces deux arbres sont toujours vivants à ce jour.
Origine du nom[modifier]
Le nom latin ginkgo vient de l'ancienne lecture japonaise ginkyō du mot chinois 銀杏, notée ぎんきょう avec la notation rekishiteki kanazukai dans l'atlas botanique « Kinmôzui » de Nakamura Tekisai (1629 - 1702)4.
En chinois moderne, 銀 se prononce yín et signifie « argent », tandis que 杏 se prononce xìng et signifie « abricot ». Le composé 銀杏 se prononce alors yínxìng : « abricot d’argent ».
En japonais moderne, ces caractères chinois se prononcent ginnan ぎんなん, en réservant le plus souvent cette prononciation pour parler du fruit, tandis que l'arbre est nommé ichō (イチョウ). La forme du « Kinmôzui » de Nakamura Tekisai n'est plus usitée.
Carl von Linné a suivi la notation ginkgo faite par Engelbert Kaempfer dans son livre Amoenitates exoticae publié en 1712. Cette notation est également présente dans les notes manuscrites de Kaempfer, ce qui exclut une erreur de typographie. Kaempfer aurait dû écrire « ginkjo » ou « ginkio » avec un « j » ou un « i » pour être cohérent avec les autres mots japonais qu'il écrivait4. La romanisation Hepburn qui utilise un « y », et transcrit « ginkyō » l'ancienne lecture japonaise, ne fut inventée que beaucoup plus tard, en 1887. L'utilisation de la lettre « g » par Kaempfer demeure donc inexpliquée.
Le mot biloba vient quant à lui de la forme caractéristique des feuilles, fendues en deux lobes.
Le nom d’« arbre aux quarante écus » vient du fait que le botaniste français M. de Pétigny a acheté, en 1788, 5 plants de ginkgo à un botaniste anglais pour la somme considérable de 200 livres, soit 40 écus d’or.
Le nom d’« arbre aux mille écus » est aussi expliqué par l’aspect de ses feuilles qui deviennent jaunes dorées à l’automne et forment comme un tapis d’or à ses pieds.
Description
Appareil végétatif
Le Ginkgo est un arbre de taille moyenne à grande, pouvant atteindre 20 à 35 m. La durée de vie est très importante, celui du jardin botanique de l'Université de Sendai est âgé de 1 250 ans5. Selon le principe de coloniarité de Francis Hallé, le ginkgo est un être vivant potentiellement immortel; il n'a pas de prédateurs naturels, ni de parasites ou maladies. Les seuls facteurs externes défavorables seraient l'homme, les aléas telluriques ou climatiques6.
L’écorce des jeunes Ginkgo est d’abord lisse puis devient craquelée et fissurée avec le temps. Sa couleur varie du brun au gris.
Ses feuilles sont uniques parmi les spermatophytes, puisque formées de deux lobes en forme de palmes et ne présentant pas de nervure centrale comme la quasi-totalité des plantes modernes. Dotées d'un pétiole, elles sont insérées sur les rameaux par petits groupes de 3 ou 47 et atteignent de 5 à 15 cm de long. Ces feuilles sont caduques.
Appareil reproducteur
Le Ginkgo biloba est rangé dans l'embranchement des Ginkgophytes ou des Préspermaphytes, proche de ceux des plantes à graines, avec le suffixe en -spermes. En effet, le Ginkgo biloba ne possède pas de graines, mais les individus mâles portent des chatons de forme cylindrique, et les femelles des ovules (individus dioïques). Un ovule fécondé par le pollen d'un autre plant de ginkgo mâle germera immédiatement, donnant naissance à une jeune pousse, généralement située au pied du plant mère.
Les ovules de Ginkgo sont souvent nommés, à tort, graine ou fruit. Les graines et les fruits n'apparaissent qu'avec les gymnospermes (ou conifères). L'ovule de Ginkgo germera dès que les conditions seront favorables, à la différence d'une graine où l'on peut mettre la pousse du nouveau plant entre parenthèses en la conservant au sec.
L'ovule est couvert d'un tégument de couleur jaune-brun, charnu extérieurement et coriace intérieurement, ce qui fait qu'on confond souvent cet ovule avec un fruit, notamment avec une drupe. L'ovule mesure de 2 à 3 cm de diamètre. Avant l'automne, il est lisse et attirant mais toxique, notamment la partie charnue du tégument, car elle contient de l'acide butanoïque. Ce dernier est à l'origine de l'odeur de beurre rance ou de vomissure que dégage l'ovule à l'automne lorsqu'il commence à se rider.
Reproduction
Le Ginkgo est un arbre dioïque, c'est-à-dire que chaque arbre est soit mâle soit femelle. Sa reproduction présente certaines caractéristiques communes avec la reproduction des fougères et d'autres communes avec celle des conifères et plantes à fleurs8.
En effet, après avoir produit ses ovules, le Ginkgo femelle reçoit du pollen que le ginkgo mâle produit en énorme quantité. Arrivé sur l'ovule, le grain de pollen germe et forme un tube pollinique libérant deux spermatozoïdes qui nagent dans le liquide de fécondation, vers le gamète femelle. (Ce mode de fécondation est appelé siphonozoïdogamie.) La fécondation peut encore s'effectuer même si l'ovule est tombé à terre. Une fois cette fécondation effectuée, la jeune plante se développe sans passer par le stade de la graine au sens botanique du terme.
La différence essentielle avec les conifères et plantes à fleurs se fait essentiellement au niveau de la production de l'ovule. Chez les conifères et plantes à fleurs, l'ovule est très petit et grossit une fois la plante fécondée en accumulant des réserves de nourriture pour la future graine. Chez le Ginkgo, l'ovule est déjà plein de réserves nutritives même si celui-ci n'est pas fécondé, et dans ce cas, "elles auront été produites en pure perte" (A première vue, mais ce qui semble être un gaspillage finit par profiter à la plante, et doit faire partie d'un cycle bio-géochimique du sol, tout comme la rhizo-accumulation : si tout ces sucres issus de la photosynthèse -la plante en a à profusion- sont recyclés dans le sol, c'est-à-dire qu'ils le nourrissent, alors le sol nourrira à son tour la plante, et ce qui apparaît comme une organisation primitive, sous-évoluée, est une symbiose très astucieuse)[réf. nécessaire]. Une autre caractéristique du ginkgo est que l'ovule une fois fécondé n'a pas le pouvoir d'hibernation d'une graine et doit germer sans attendre.
À ce titre, on peut comparer l'ovule du Ginkgo à un œuf de poule qui ne donnera un poussin que si la poule a été fécondée par le coq mais qui, dans le cas contraire aura été produit en pure perte.
La seule autre plante à ovules est le cycas.
Le sexe d'un arbre est difficile à déterminer avant la production des organes de reproduction (ovules ou pollen). En effet, seules les femelles produisent des ovules (et donc des graines). La plupart des Ginkgo plantés en ville sont des mâles obtenus par bouturage pour être sûr qu'ils ne produiront pas d'ovules nauséabonds au milieu de l'hiver.
La plante arrive à maturité sexuelle entre 20 et 30 ans et sa durée de vie peut excéder 1 000 ans1.
Autre caractéristique biologique
Le ginkgo vit en symbiose avec une algue monocellulaire de type coccomyxa, endosymbiotique, découverte en 1992 et identifiée en 2000 dans la quasi-totalité des arbres et de leurs tissus1.
Culture
Le ginkgo est peu exigeant pour la qualité du terrain. Il aime cependant les sols siliceux ou silico-argileux frais.
Les arbres sont faciles à obtenir par germination des ovules9.
Un exemple extrême de sa résistance est le fait qu'il fut l'une des rares espèces à ne pas avoir souffert de l'explosion de la bombe atomique le 6 août 1945 à Hiroshima. Un ginkgo biloba situé à moins d'un kilomètre de l'épicentre a survécu, les études scientifiques réalisées par la suite ont prouvé sa résistance aux agents mutagènes10.
Médecine
Le ginkgo a de très nombreuses applications médicales (circulation capillaire, vasodilatateur, circulation veineuse, etc.) 11 découvertes depuis plusieurs millénaires.
Riche en flavonoïdes, l'extrait de feuilles de ginkgo est un puissant antioxydant12. Son utilisation pharmaceutique a été proposée pour ses capacités vaso-dilatatrices ce qui permettrait de traiter les problèmes de mémoire, la sénilité, les problèmes de peau. Mais aussi pour les varices, hémorroïdes, jambes lourdes. Il est également utilisé dans la maladie d'Alzheimer malgré l'absence d'efficacité démontrée13,14. De même, il n'y a pas d'effets démontrés sur les troubles cognitifs du sujet âgé15.
Il permettrait aux personnes atteintes du syndrome de Raynaud de supporter le froid16.
Il contient également des terpènes, isolés en 1932 par Furakawa et appelés ginkgolides. Leur structure est identifiée dans les années 1960. Elias James Corey, Prix Nobel de chimie, fait la synthèse de l'un d'eux, le ginkgolide B.
Le fait que l'extrait de G. biloba soit un antiagrégant plaquettaire semble relié à certains cas d'accidents vasculaires17,18,19,20.
Alimentation
La « graine » de ginkgo entre dans la composition du chawanmushi japonais. Les « graines », comparables aux pistaches, sont une nourriture traditionnelle en Chine, souvent servie aux mariages ; elles sont parfois aussi considérées comme aphrodisiaques.
Ornement
On trouve des ginkgo aujourd'hui dans de nombreuses rues et parcs des grandes villes en raison de sa résistance à la pollution et du caractère ornemental de ses feuilles. L'arbre est cultivé intensivement (en particulier pour l'usage médicinal de ses feuilles) en Europe, au Japon, en Corée et aux États-Unis[réf. nécessaire].
À cause de l'odeur rance désagréable des fruits (la paroi externe des ovules se décompose en dégageant une odeur d'acide butyrique)21, les ginkgos plantés ont plutôt tendance à être des arbres mâles. Un Ginkgo biloba femelle d'origine japonaise a également été planté au centre ville de Toulouse, avant d'être enlevé22.
Il existe aussi sous forme de bonsaï.
Symbole[modifier]
La feuille de ginkgo est le symbole de la ville de Tōkyō au Japon. L'arbre est fréquemment cité dans les romans japonais de l'époque Meiji et contemporains (moins que les cerisiers en fleurs et les érables de l'automne, cependant).
Le Ginkgo biloba est également l'arbre fétiche de la ville de Weimar (Allemagne) dans laquelle Goethe résida.

« Dieses Baums Blatt, der von Osten
Meinem Garten anvertraut,
Giebt geheimen Sinn zu kosten,
Wie's den Wissenden erbaut,

Ist es Ein lebendig Wesen,
Das sich in sich selbst getrennt?
Sind es zwei, die sich erlesen,
Daß man sie als Eines kennt?

Solche Frage zu erwiedern,
Fand ich wohl den rechten Sinn,
Fühlst du nicht an meinen Liedern,
Daß ich Eins und doppelt bin? »

Traduction :
« La feuille de cet arbre, qui, de l’Orient,
Est confiée à mon jardin,
Offre un sens caché
Qui charme l’initié.
 
Est-ce un être vivant,
Qui s’est scindé en lui-même,
Sont-ils deux qui se choisissent,
Si bien qu’on les prend pour un seul ?
 
Pour répondre à ces questions,
Je crois avoir la vraie manière :
Ne sens-tu pas, à mes chants,
Que je suis à la fois un et double ? »
— Johann Wolfgang von Goethe, Le Divan oriental-occidental, Ginkgo biloba, (traduction de Henri Lichtenberger)
On peut voir la lettre de Goethe avec son poème et les deux feuilles collées en herbier au Goethe-museum de Düsseldorf.
Le Ginkgo est aussi le symbole et le nom d'une société de transport en commun de la ville de Besançon.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ginkgo_biloba

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Cornouaille Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Capitale historique Quimper Langue(s) Français - Breton Religion Catholique Superficie 5 979 Km² Population 456 307 (1999) Gwenn ha du.svg Portail de la Bretagne La Cornouaille (Kernev, Bro Gernev en breton) est un pays de Bretagne (à ne pas confondre avec la Cornouailles britannique, dont le nom s'écrit avec un "s"). Le gentilé de la Cornouaille bretonne est cornouaillais  e (le gentilé de la Cornouailles britannique est cornique). Étymologie Cornouaille se dit Kerne, Kernev ou Bro Gerne en breton, et Cornugallia en latin, parfois « Cornubia ». * Il est possible que ce nom lui ait été donné en référence à cette région de Cornouailles (Kernow), tout comme l'actuel Devon (ancienne Dumnonia) a donné son nom à la Domnonée qui désignait la côte Nord de la Bretagne au Haut Moyen Âge. * Selon une autre hypothèse qui a eu longtemps cours, le nom serait d'origine anglo-saxonne et signifierait « Le pays des étrangers » en référence au cantonnement des Celtes d'Outre-Manche par les envahisseurs angles, saxons, jutes et frisons. * Une troisième hypothèse, basée sur la traduction latine cornugallia, est invoquée par certains auteurs : cornugallia signifierait le coin de la Gaule, relativement à la situation géographique de la Cornouaille bretonne. Antiquité tardive Les deux Cornouaille(s) trouvent plus vraisemblablement leur origine commune à la fin du IIIe siècle : les incursions de pirates saxons, frisons et scots, associées aux pillages des bagaudes, contraignent les villes armoricaines (entre autres) à s'entourer en urgence de murailles dont les restes se voient encore à Alet, Brest, Nantes, Rennes et Vannes. Devant l'incurie de l'empire romain, le responsable de la défense des côtes, le ménapien Carausius (puis son successeur Allectus) établit entre 288 et 296 un empire séparé sur les côtes nord et sud de la Manche pour les garantir des invasions. L'empereur Constance Chlore les vainc en 293 et 296 et, ayant rétabli l'unité de l'empire de ce côté, organise la défense côtière en transférant des Bretons en Armorique à partir de 296-297. Ces Bretons sont des Cornovii, peuple sans doute fidèle à Rome et choisi pour ce motif. Le chef-lieu de leur cité est à Viroconium Cornoviorum (l'actuelle Wroxeter) et ils occupent plus au nord le port de Deva (Chester). Les Cornovii étant chargés du contrôle militaire des pointes occidentales de la Bretagne et de l'Armorique, c’est-à-dire de l'ouest de la Manche, leur nom se serait conservé en ces lieux. Il ne s'agit donc pas d'une colonisation massive comme cela arrivera au VIe siècle, mais d'une occupation militaire. Le Tractus armoricanus et nervicanus (administration militaire chargée du contrôle de toutes les côtes de Boulogne à la Gironde), et son bras armé, la Classis armoricana (Flotte armoricaine), ne sont créés proprement qu'en 370, sous le règne de l'empereur Valentinien Ier. Haut Moyen Âge D'autres princes sont dits avoir régné sur les côtes nord et sud de la Manche occidentale, comme le roi de Cornouaille Daniel Drem Rud au VIe siècle, et le fameux comte Conomor assimilé au roi Marc de la Cornouailles britannique (Marcus Cunomorus). Entre 815 et 839, Egbert annexe le royaume breton de Cornouaille. La Cornouaille armoricaine est mentionnée pour la première fois et indirectement entre 852 et 857 quand « l'évêque de Saint-Corentin », Anaweten, est qualifié de Cornugallensis (adj. latin dérivé de Cornugallia). L'existence d'une commune d'Anjou dénommée « La Cornuaille » a suscité une hypothèse qui en ferait une appellation géographique ou militaire couvrant toute la Bretagne du Sud et faisant pendant à la Domnonée sur le rivage Nord au VIe siècle ou VIIe siècle. Formation de la Bretagne Au IXe siècle, il semble que le nom de Poher (pour Pou-Caer = Pays de la Ville ou Pays du Château ou Pays de Carhaix) se soit substitué à celui de Cornouaille. Par la suite, il fut réservé à la vallée de l'Aulne, dont la capitale était Carhaix. À la fin du IXe siècle, le comté féodal de Cornouaille reprend le nom de l'ancien royaume. Sa dynastie accède au trône ducal, il passa à l'évêque de Quimper qui devient comte-évêque de Cornouaille jusqu'au XIe siècle où deux frères s'en répartissent les dignités. La Cornouaille de nos jours Composée de 218 communes (sur la base des communes actuelles), la Cornouaille comptait - au dernier recensement de 1999 - 456 307 habitants pour une superficie totale de 5 979 km². Le nom a été repris officiellement en 2001 pour sa partie au sud d'une ligne Châteaulin-Scaër pour la circonscription de programmation « Pays de Cornouaille » composée de 112 communes (loi Voynet, 1999)


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