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Coiffe et Costume Breton grand Pardon de Kerdevot Ergue Gaberic Finistere 0517
Cornouaille

http://fr.wikipedia.org/wiki/Costume_breton

Costume breton, Grand pardon de Kerdévot, Ergue-Gaberic, Finistere

Le costume breton est le modèle des vêtements que portaient les Bretons comme vêtements de cérémonie ou de fête, les vêtements de tous les jours présentaient moins d'originalité même s'ils avaient aussi des caractéristiques locales ou professionnelles.
Depuis la fin du xxe siècle, le costume traditionnel n'est quasiment plus porté qu'à l'occasion de manifestations religieuses exceptionnelles (pardons) et de manifestations culturelles auxquelles participent les cercles celtiques ; ainsi, il est devenu « costume folklorique » comme tous les costumes régionaux de France1.
Fin xxe siècle et début xxie siècle, le costume traditionnel breton est un des supports de la revendication identitaire de la région, ne serait-ce que pour casser les clichés de mauvais goût tel que « Ils ont des chapeaux ronds, vivent les Bretons ! »
Le costume a évolué au cours du temps, avec une forte différenciation locale au xixe siècle, qui s'est accentuée jusqu'à la Première Guerre mondiale. « À l'obsession paranoïaque de l'uniformité républicaine répondit une obsession réflexe de la singularité. C'est au xixe siècle que le costume breton se diversifia : chaque bourg, chaque village, chaque quartier de ville mit son point d'honneur à se distinguer du voisin par le jeu des broderies et des couleurs. Et même chaque condition, chaque caste, chaque profession, chaque âge... » (Vallerie, p. 51). Cet épanouissement débuta après que la Révolution française eut aboli les lois somptuaires qui, sous l'Ancien Régime, limitaient l'inventivité autour du luxe.
Le mouvement cessa avec les costumes uniformément noirs (les seuls autorisés en cas de veuvage) imposés par le massacre de 14-18. « La Bretagne entrait dans la modernité à la force des baïonnettes » (Vallerie, p. 51).
Cornouaille
La belle Angèle, toile de Gauguin
Ceux de Cornouaille ont été souvent représentés par les peintres de l'école de Pont-Aven, surtout par Gauguin, et plus particulièrement les vêtements de cérémonie.
Les costumes du pays de Lorient partagent une des particularités des costumes du pays vannetais : des tabliers de velours pour la plupart comportant des motifs floraux peints ou brodés. Le tablier de Lorient, contrairement aux autres tabliers vannetais, est constitué d'une grande bavette qui recouvre les épaules.
Costumes des femmes
Costume dit "Lalaisse " : Il s'agit d'un costume des années 1850 décrit par Lalaisse . Il est constitué d'une jupe et d'une camisole de couleur brun rouge avec quelques petits pans de velours dans le bas de la jupe, les épaules, les manches. Le tablier est constitué d'une grande bavette qui, contrairement à des dizaines d'années plus tard, ne remonte pas jusque la dentelle du col et laisse ainsi apparaitre du tissu de coton blanc. La coiffe est constitué de trois parties : un bonnet à grand fond et jugulaire dont le bas comporte des petites ailettes qui tombent dans la nuque, une bande de coton blanc plié en deux avec en dessous une autre bande de coton bordé de dentelle. Ces trois parties à part le fond du bonnet sont amidonnées. La femme décrite par Lalaisse porte également des manchettes boutonnées avec de la dentelle, un col de dentelle amidonné et un collier en velours comportant une croix surmonté d'un cœur (très répandu à cette époque), le tout tombant sur la poitrine.
Costume des années 1900 : La coiffe a très largement diminué, il reste encore la jugulaire et des bardes, correspondant aux restes de l'ancienne coiffe et comporte toujours un bonnet à plus petit fond mais toujours composé de deux ailettes de dentelle. La camisole et la jupe sont maintenant de couleur noire et comportent des plus gros pans de velours : dans le haut du dos, le bas de la jupe et les coudes. La jupe s'est rallongée et touche le sol, elle comporte en bas une balayeuse. Le tablier monte maintenant jusque la dentelle du col, et souvent moiré ou alors en indienne, c'est-à-dire brodé de bouquet de fleurs. La dentelle du col est plus haute, les manchettes très évasées. Les femmes portent également un sautoir avec un coulisseau et une broche.
Costume des années 1920 : Peu de changements par rapport à 1900, mais c'est le début de l'émancipation des femmes et par conséquent les jupes et tabliers raccourcissent légèrement pour laisser apparaitre les chevilles. Les tabliers peuvent comporter des guirlandes de fleurs brodées. La coiffe ne comporte plus de jugulaire, et les bardes ont diminuées.
Costume des années 1940 : On aperçoit désormais les mollets des femmes. Les camisoles et jupes se voient recouvrir de velours orné de galons perlés. Les tabliers adoptent parfois des couleurs plus vives, sont peints ou brodés, quelques fois en cannetille (fil d'or). Les coiffes sont dressés en aéroplane et comportent des motifs floraux très compliqués, il n'y a plus de bardes.
Comme dans de nombreux peuples et nations, les défenseurs de la culture locale se sont attachés au costume en tant qu'élément identitaire
Avant 1914
Au XIXe et au début du XXe siècle les régionalistes traditionalistes mettaient sur le même plan la langue, la religion et le costume. Certains, comme Théodore Botrel, se faisaient photographier en costume national2.
Après 1945
À la fin du XXe et au début du XXIe siècle, les cartes postales bretonnes représentent souvent des Bretons typiques, membres de cercles celtiques qu'on a fait poser en costume, et qui défilent devant des milliers de touristes lors des fêtes estivales.
Caricatures
C'est encore une vision répandue en France, des éléments du costume étant souvent utilisés pour représenter les Bretons. Les caricaturistes de la presse parisienne représentent généralement les hommes avec un chapeau breton et les femmes portant une coiffe bigoudène.
La publicité a principalement utilisé les coiffes bigoudènes, portées par des personnes âgées.
Vêtements et tenues particulières
Le kabig, prononcé kabik, serait une évolution de la tenue des goémoniers portant le kab an aod. C'est un manteau de gros drap, descendant à mi-cuisse, avec une poche ventrale. Il a connu un grand succès des années 40 aux années 70 ; peu d'écoliers n'en ayant pas porté à un moment ou l'autre.
Les culottes bouffantes, bragoù bras, pratiquement plus portées avant même 1900. Elles peuvent être considérées comme d'origine celtique, sorte de kilt transformé par le mouvement de Contre-Réforme.

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Copyright: Dieter Kik
Type: Spherical
Resolution: 8208x4104
Taken: 12/09/2010
Загружена: 02/09/2011
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Tags: church; village brittany; gothic; sun
More About Cornouaille

Cornouaille Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Capitale historique Quimper Langue(s) Français - Breton Religion Catholique Superficie 5 979 Km² Population 456 307 (1999) Gwenn ha du.svg Portail de la Bretagne La Cornouaille (Kernev, Bro Gernev en breton) est un pays de Bretagne (à ne pas confondre avec la Cornouailles britannique, dont le nom s'écrit avec un "s"). Le gentilé de la Cornouaille bretonne est cornouaillais  e (le gentilé de la Cornouailles britannique est cornique). Étymologie Cornouaille se dit Kerne, Kernev ou Bro Gerne en breton, et Cornugallia en latin, parfois « Cornubia ». * Il est possible que ce nom lui ait été donné en référence à cette région de Cornouailles (Kernow), tout comme l'actuel Devon (ancienne Dumnonia) a donné son nom à la Domnonée qui désignait la côte Nord de la Bretagne au Haut Moyen Âge. * Selon une autre hypothèse qui a eu longtemps cours, le nom serait d'origine anglo-saxonne et signifierait « Le pays des étrangers » en référence au cantonnement des Celtes d'Outre-Manche par les envahisseurs angles, saxons, jutes et frisons. * Une troisième hypothèse, basée sur la traduction latine cornugallia, est invoquée par certains auteurs : cornugallia signifierait le coin de la Gaule, relativement à la situation géographique de la Cornouaille bretonne. Antiquité tardive Les deux Cornouaille(s) trouvent plus vraisemblablement leur origine commune à la fin du IIIe siècle : les incursions de pirates saxons, frisons et scots, associées aux pillages des bagaudes, contraignent les villes armoricaines (entre autres) à s'entourer en urgence de murailles dont les restes se voient encore à Alet, Brest, Nantes, Rennes et Vannes. Devant l'incurie de l'empire romain, le responsable de la défense des côtes, le ménapien Carausius (puis son successeur Allectus) établit entre 288 et 296 un empire séparé sur les côtes nord et sud de la Manche pour les garantir des invasions. L'empereur Constance Chlore les vainc en 293 et 296 et, ayant rétabli l'unité de l'empire de ce côté, organise la défense côtière en transférant des Bretons en Armorique à partir de 296-297. Ces Bretons sont des Cornovii, peuple sans doute fidèle à Rome et choisi pour ce motif. Le chef-lieu de leur cité est à Viroconium Cornoviorum (l'actuelle Wroxeter) et ils occupent plus au nord le port de Deva (Chester). Les Cornovii étant chargés du contrôle militaire des pointes occidentales de la Bretagne et de l'Armorique, c’est-à-dire de l'ouest de la Manche, leur nom se serait conservé en ces lieux. Il ne s'agit donc pas d'une colonisation massive comme cela arrivera au VIe siècle, mais d'une occupation militaire. Le Tractus armoricanus et nervicanus (administration militaire chargée du contrôle de toutes les côtes de Boulogne à la Gironde), et son bras armé, la Classis armoricana (Flotte armoricaine), ne sont créés proprement qu'en 370, sous le règne de l'empereur Valentinien Ier. Haut Moyen Âge D'autres princes sont dits avoir régné sur les côtes nord et sud de la Manche occidentale, comme le roi de Cornouaille Daniel Drem Rud au VIe siècle, et le fameux comte Conomor assimilé au roi Marc de la Cornouailles britannique (Marcus Cunomorus). Entre 815 et 839, Egbert annexe le royaume breton de Cornouaille. La Cornouaille armoricaine est mentionnée pour la première fois et indirectement entre 852 et 857 quand « l'évêque de Saint-Corentin », Anaweten, est qualifié de Cornugallensis (adj. latin dérivé de Cornugallia). L'existence d'une commune d'Anjou dénommée « La Cornuaille » a suscité une hypothèse qui en ferait une appellation géographique ou militaire couvrant toute la Bretagne du Sud et faisant pendant à la Domnonée sur le rivage Nord au VIe siècle ou VIIe siècle. Formation de la Bretagne Au IXe siècle, il semble que le nom de Poher (pour Pou-Caer = Pays de la Ville ou Pays du Château ou Pays de Carhaix) se soit substitué à celui de Cornouaille. Par la suite, il fut réservé à la vallée de l'Aulne, dont la capitale était Carhaix. À la fin du IXe siècle, le comté féodal de Cornouaille reprend le nom de l'ancien royaume. Sa dynastie accède au trône ducal, il passa à l'évêque de Quimper qui devient comte-évêque de Cornouaille jusqu'au XIe siècle où deux frères s'en répartissent les dignités. La Cornouaille de nos jours Composée de 218 communes (sur la base des communes actuelles), la Cornouaille comptait - au dernier recensement de 1999 - 456 307 habitants pour une superficie totale de 5 979 km². Le nom a été repris officiellement en 2001 pour sa partie au sud d'une ligne Châteaulin-Scaër pour la circonscription de programmation « Pays de Cornouaille » composée de 112 communes (loi Voynet, 1999)


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