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Freewheels (BMX) Quimper 5009
Cornouaille

http://freewheels.over-blog.com/

merci a l’équipe de l'association et a Jérôme qui a déclenché l'appareil  pour la photo
http://fr.wikipedia.org/wiki/BMX
Bicycle motocross
Le BMX (Bicycle motocross) ou bicross est un sport cycliste physique, technique et très spectaculaire.
Il s'agit, pour les concurrents, qui sont 8 au départ, de parcourir une piste développant entre 340 m et 400 m (à l'aide d'un vélo de bicross). Cette piste a la particularité d'être parsemée d'obstacles qui, soit se sautent, soit s'enroulent par cabrage du vélo sur la roue arrière. C'est un sport acrobatique et spectaculaire demandant des qualités physiques telles que la vélocité, la puissance, l'explosivité et l'endurance.
Les pratiquants de ce sport sont des pilotes (on dit aussi parfois bicrosseur, rider, bmxeur ou bmxer). Ce sport dit « extrême » est devenu discipline olympique pour les Jeux olympiques de Pékin en 2008.
Le BMX (en anglais : bicycle moto cross) est apparu en 1968 en Californie, alors qu’au même moment le moto cross devenait un sport très populaire aux États-Unis.
La version motorisée de ce sport a été la source dans le besoin d'inspiration du BMX. Enfants et adolescents animés par le désir de pratiquer la moto cross alors qu’ils n’en avaient pas les moyens ont donc assouvi leur appétit en participant à des compétitions de vélo sur des pistes qu’ils construisaient eux-mêmes. Et pour que l’imitation soit plus fidèle, ces jeunes aventuriers se sont habillés avec des équipements de moto cross. Le sport a pris le nom de BMX et le concept fut adopté.
La compétition de BMX offre à moindre frais et proche de chez soi l’excitation d’un sport d’action. Il est facile de comprendre pourquoi le sport connut immédiatement un véritable engouement. C’est en Californie qu’il fut le plus populaire. Au début des années 1970, une structure de régulation des courses fut créée aux États-Unis. Elle est considérée maintenant comme le début officiel de la compétition. Au cours de cette même décennie, cette pratique fut introduite sur d’autres continents et à travers l’Europe à partir de 1978.
En avril 1981 a été créée "International BMX Federation" (Fédération Internationale de BMX) et les premiers Championnats du monde se déroulèrent en 1982. Le BMX se développa rapidement comme un sport à part entière et après plusieurs années, il trouva plus de points communs avec les codes du cyclisme qu’avec ceux du moto cross. Depuis janvier 1993, le BMX a été totalement intégré à l’Union Cycliste Internationale.
Le vélo
Le vélo de bicross est petit. Il possède des roues de 20 pouces, environ 50 cm, taille des pneus 20x1.50 à 20x2.125 plus gros pour les roues avant et 20x1-1/8 ou 20x1-3/8 pour les jeunes de moins de 10 ans (sauf les « Cruisers » qui ont des roues de 24 pouces). Quand on parle de 21 pouces, c'est la taille du tube supérieur du cadre (top tube) au sol mais les roues restent de 20 pouces. Ce vélo est donc particulièrement maniable. Il n'y a pas de dérailleur : les courses sont des sprints courts (moins d'une minute). L'équipement du pilote s'apparente à celui d'un pilote de motocross et hormis les chaussures, la tenue est généralement choisie parmi les équipementiers de motocross. Le vélo reçoit peu d'équipement et certains composants comme la tige de selle, les pédales ou encore le guidon chez les plus jeunes pilotes sont en alliage d'aluminium et depuis quelques temps en carbone, bien que celui-ci soit plus fragile, pour les fourches. Ceci afin de rendre le BMX le plus léger possible. Le poids d'un BMX adulte se situe aux environs de 12 kg, ou moins pour les BMX de compétition les mieux équipés descendant parfois sous la barre des 9 kg.
La race
La race est la pratique la plus courante du BMX : elle est la pratique de ceux qui sont lassés de courir après les nouvelles tendances, et de ceux qui préfèrent les sensations fortes, la vitesse. En race, une grande partie de la course se fait au départ ! Quelqu'un qui part bien et qui ne fait pas de fautes par la suite, en général, remporte la course ! Il ne s'agit pas de faire des figures, celui qui en fait peut d'ailleurs être pénalisé.
La piste
Les pistes de bicross sont toutes différentes les unes des autres. Elles sont en terre battue avec un revêtement qui offre une surface très roulante pour favoriser la vitesse et la fluidité. De nos jours, il n'est pas rare de trouver des pistes comportant des virages en bitume ou en ciment. Ces pistes font entre 280 et 400 m de long, avec 3 à 6 virages et de 10 à plus de 30 bosses dont les fameuses whoops, séries de simples de bosses à sauter par paire ou à enrouler. Certaines pistes sont particulièrement sélectives pour que les meilleurs en technique soient avantagés. Il y a plusieurs types de bosses :

Une simple est une bosse seule. Les pilotes la passent en se mettant sur la roue arrière avant de l'atteindre (c'est ce que l'on appelle un cabrage).
Une double est une série de deux bosses qui se suivent. Elles sont écartées de 2 mètres ou plus (même si elles font rarement plus de 10 m de long). Trois solutions sont adoptées pour passer rapidement : sur la roue arrière pendant le creux (un enroulé), se mettre sur la roue arrière avant d'arriver sur la bosse et dans le creux de la bosse (c'est un cabré-enroulé), ou en sautant d'une bosse à l'autre (ce qui est spectaculaire quand les sauts font 6 mètres ou plus de long, ainsi la première double du championnat du monde UCI 2008 à Madrid faisait 13 mètres de long). C'est l'obstacle le plus souvent rencontré sur les pistes.
Une triple est une série de trois bosses.
Une table est une bosse en forme de table : une montée, un plat et une descente. Le plat fait de 1 à 8 mètres de long, toujours pour favoriser les sauts. Ce type de bosse est très apprécié pour l'apprentissage du saut chez les jeunes pilotes.
Une double asymétrique est une double dont la première bosse est plus petite que la deuxième.
Une pro est une table avec une simple bosse dessus au début ou à la fin de celle-ci (en forme de chaise).
Les whoops sont une série de bosses très rapprochées (5 à 8 bosses, 2 à 5 mètres entre chaque bosse). Il s'agit d'un obstacle intéressant car il existe de multiples manières de le passer. Souvent, les pilotes sautent ces bosses deux par deux.
Une dromadaire est une table avec une simple au milieu de celle-ci.
Un chameau est une table avec une double au milieu de celle-ci.
Une simple table est une bosse simple avec une table juste derrière.
Une double table est une double suivie d'une table.
La compétition[modifier]
Une compétition de bicross est assimilable à un sprint où le sprinter devrait franchir des haies sur une distance moyenne de 300 mètres, avec en plus, de légers dénivelés.
Au départ, les pilotes sont positionnés en équilibre sur une pente, appelée butte de départ, avec leur roue avant appuyée contre une grille de départ. À l'origine, cette grille s'abaissait par un mécanisme actionné manuellement. Aujourd'hui, sous l'impulsion des Américains, la totalité des pays ont adopté un système de départ actionné par un piston à air, qui projette la grille vers l'avant et permet aux pilotes de s'extraire rapidement. Les ordres de départ sont énoncés par un haut parleur suivant la procédure suivante homologuée : « Attention. Riders ready ? Watch the gate ! ». Les concurrents regardent les feux tricolores, rouge, orange et vert et quand le feu passe au vert, la grille bascule vers l'avant. Dans les années 1980, il n'y avait pas de feux, on pouvait entendre "Attention pilotes, Prêts pilotes, Riders, Ready ? GO !" et la grille tombait. Ce système a occasionné de nombreux faux départs et pouvait parfois blesser légèrement les pilotes qui chutaient. Depuis 2004, la France a installé un nouveau système de grille de départ sécurisée et silencieuse ayant la forme d'un quart de lune caissonné, qui empêche ainsi qu'un pilote ne glisse un de ses membres en dessous. Elle fut notamment utilisée lors des championnats du monde de BMX UCI à Paris-Bercy en juillet 2005. Actuellement un nouveau système est utilisé dans certaines courses : la "random gate", littéralement "grille aléatoire", où un délai choisi aléatoirement par un programme s'écoule entre le "Watch the gate!" et la chute de la grille, ce délai varie de 0 à 3,5 secondes, ce type de grille favorise les réflexes et enlève l'avantage qu'avaient les pilotes à domicile qui savaient exactement à quel instant s'abaissait leur grille.

Derrière la grille, il y a 8 pilotes au maximum pour s'élancer sur la piste. Si dans une catégorie d'âge, le nombre de participants est supérieur à 8 (ce qui est souvent le cas), les pilotes font 3 manches qualificatives par groupe de 8 pilotes maximum, puis des 1/8, 1/4, des demi-finales et une finale pour chaque catégorie d'âge. Il faut être dans les 4 premiers pour passer des manches aux 1/4 puis des 1/4 aux demis...

Il y a environ 15 catégories, filles et garçons séparés (sauf pour les courses moyennes où il n'y a pas assez de pilotes pour le faire). Les espoirs sont les débutants. Il faut avoir fait des résultats en espoir pour devenir expert puis élite (semi-professionnel). Les plus jeunes sont les prélicenciés (6 ans et moins) et les plus vieux sont les vétérans (plus de 40 ans). Un champion Elite de BMX est âgé en moyenne de 21 ans. Ces jeunes garçons et filles sont des sportifs de haut niveau reconnus par le Ministère Jeunesse et Sport et bénéficient d'un suivi médical.

La France fait partie du groupe de tête pour le BMX Race. Des pilotes comme Christophe Lévêque (9 fois champion du monde) ou Thomas Allier (2 fois champion du monde) sont des stars et sont allés aux USA pour vivre de ce sport comme professionnels. Christophe Lévêque réside toujours aux États-Unis, en Californie. À 33 ans, il est le sportif le plus titré de l'histoire du BMX.
Lors des derniers championnats du monde de BMX à Paris-Bercy, 2500 pilotes venant de 45 pays étaient présents.
Cependant, les Américains, comme dans le motocross, sont très présents dans la course au titre mondial.

En freestyle
On appelle un freestyler un rider qui utilise son BMX pour faire des figures. Contrairement au BMX race qui est affilié à la FFC, le BMX freestyle est une pratique libre et non gérée par une quelconque fédération. Ainsi, le BMX freestyle est en quelque sorte régi par ses pratiquants. Au niveau français, ce sont en général les riders qui organisent les compétitions. Les juges sont d'anciens riders ou encore riders mais expérimentés. Les riders sont jugés sur les figures effectuées et leurs difficultés mais aussi sur l'originalité et le style.

Le flat
Une figure de Flat
Le flat est une discipline qui se pratique avec un BMX, mais qui est devenue une discipline à part entière qui se détache un peu des autres disciplines. Elle consiste à faire des figures ou enchaînements de figures exclusivement sur un sol plat, souvent en équilibre sur une seule roue ou en utilisant des pegs.

Le flat évolue très rapidement depuis quelques années, et devient plus une forme d'art qu'un sport à part entière, discipline très exigeante que l'on pourrait comparer à une danse, semblable au breakdance, à la danse hip-hop. De ce fait, dans les compétitions (plus souvent appelées Contests ou jams), l'originalité et le style des pratiquants sont largement mis en avant au détriment du côté purement sportif et compétitif. L'originalité des tricks fait la différence en compétition.
Pour le flat, on utilise un vélo plus court et plus léger, ce qui permet un meilleur maniement. Beaucoup de flatlanders utilisent seulement le frein avant ou pas de frein du tout, ce qui rend la pratique plus difficile mais aussi plus impressionnante et beaucoup plus fluide. Au niveau des repose-pieds, on peut remarquer une différence avec les autres pratiques ; en effet ceux-ci sont plus gros et accrochent aux chaussures. Les légendes américaines comme Bob Haro, RL Osborn, Dennis McCoy, Kevin Jones, Chase Gouin, ou européennes comme Martti Kuoppa, Viki Gomez et certains Français comme Alexis Desolneux, et bien d'autres ont, chacun à leur époque, fait avancer la discipline. De nombreux Japonais pratiquent cette discipline et font actuellement partie des meilleurs mondiaux, enchaînant des figures originales et très rapides.

Le dirt[modifier]
Le dirt est la discipline qui consiste à exécuter des figures sur des bosses en terre lors de contests. Les bosses sont toujours construites par les utilisateurs eux-mêmes. La difficulté du dirt étant que les bosses d'appel et de réception sont en général espacées de plusieurs mètres, formant ainsi un creux entre elles. Par ailleurs, l'autre difficulté dans cette discipline étant de réussir à placer des figures pendant le saut.

De nos jours, le dirt est une discipline qui demande de l'engagement afin de réussir les figures actuelles telles qu'un 360°, un backflip (salto arrière), un frontflip (salto avant), ou un tailwhip (le cadre du vélo effectue une rotation autour du tube de direction) et bien d'autres figures (busdriver, no hand, superman...). La liste de ces figures est presque infinie, et les meilleurs arrivent à placer plusieurs figures dans un seul saut.

Le street
Figure sur rampe, aux Suzuki BMX Masters 2006 à Cologne
Comme son nom l'indique le street se pratique dans la rue, sans règle ni contrainte. Le but est d'utiliser le mobilier urbain afin d'y effectuer des figures. Le rider se sert de plans inclinés, de murs, de mains-courantes, de murets sur le côté d'escalier, et de toutes autres installations non prévues à cet effet. A la base le street est venu souvent d'une absence de structures (skateparks) mais la discipline est en train de devenir la plus en vogue dans les vidéos et les magazines spécialisés. La grande tendance actuelle est de faire du street sans avoir de frein. Une autre très forte tendance actuelle[réf. nécessaire] est de faire des figures en les enchaînant le plus proprement possible sur plusieurs obstacles qui se suivent, et donc de créer une "ligne" la plus fluide et complète possible.
La base du street est la technique du bunny hop qui consiste à décoller les deux roues sans tremplin.

Le park
Le park est la discipline la plus connue du BMX freestyle, notamment grâce aux contests tels que les X Games, les Gravity Games, le FISE... Un skate park est le plus souvent réalisé en bois (en intérieur) et en béton en extérieur1.
Le principe du park est de réaliser des figures sur les modules présents dans l'aire du park (quarters, plans inclinés, curbs, rails, walls...). Le park est en quelque sorte la combinaison de toutes les disciplines du BMX (dirt, street, flat) car grâce à la diversité des modules, il est possible de réaliser des figures aériennes comme en dirt sur une fun-box ou bien des grinds comme en street sur les curbs et rails et des figures au sol sur les plateformes des quarters comme en flat.
Le problème du park est son manque d'infrastructures. En effet, les villes sont rarement dotées de structures nécessaires à la pratique, ainsi les riders se tournent vers le street (avec les inconvénients qu'il engendre comme les dégradations du mobilier urbain) ou vers le dirt car il est parfois plus facile de creuser quelques bosses en terre que de construire un skatepark.

La vert
La vert' (abréviation de Vertical) est le nom donné à la pratique qui consiste à faire des figures dans une rampe en forme de "U". La difficulté étant que les parois de la rampe finissent à la verticale (de 30 à 70 cm suivant les rampes).
Même si c'est sans doute la pratique la plus spectaculaire du BMX, la vert' est peut-être la moins pratiquée de nos jours car c'est une des disciplines les plus exigeantes du BMX, demandant des années d'entraînement mais surtout des infrastructures très lourdes.
Les plus grands champions de la vert' sont Mat Hoffman (qui a littéralement dédié sa vie à la discipline), Dave Mirra, l'Anglais Jamie Bestwick, tous plusieurs fois médaillés d'or aux X-Games et Gravity Games et maintenant au Dew Tour.
Une rampe classique mesure généralement 3,50 m (plutôt 4 m de nos jours) de haut et les meilleurs arrivent à décoller de 3 m ou 4,50 m au-dessus de la rampe.
Une mode récente est celle des rampes qui mesurent le double d'une rampe normale, permettant des sauts à plus de 6 m.
Folie imaginée par Mat Hoffman vers 1993, cette discipline fait depuis 2007 partie des X Games.

Le Trail
On appelle un "trail" un terrain (vague ou mieux en forêt) sur lequel les riders vont ériger un "champ de bosses". Le principe est simple : aucune règle, aucune contrainte. Pour beaucoup, le trail est considéré comme la pratique la plus "noble" car bien souvent les riders passent quasiment autant de temps à creuser et façonner leur bosses qu'à rouler. Certains même passent parfois plus de temps à creuser. Les mots d'ordre pour un bon champ de bosses sont : "enchaînement, compression, fluidité, plaisir". Compression, car le but est de creuser un trou, récupérer cette terre pour ériger les bosses d'appel et de réception. Le but n'est pas spécialement de faire des figures mais plutôt d'enchaîner le plus de sauts sans avoir besoin de pédaler, en "pompant" dans les compressions pour prendre de la hauteur et donc de la vitesse.
Le problème majeur du trail est l'apport d'eau nécessaire à l'entretien des bosses, les passants qui laissent leurs enfants se servir des bosses comme toboggans. Plus grave, souvent les riders creusent sur des terrains qui ne leur appartiennent pas et parfois (souvent) le trail se retrouve rasé par les mairies ou les propriétaires. De plus en plus, les riders se regroupent en association pour "officialiser" leur champ de bosses.
Les creuseurs les plus authentiques ont une espèce de "règlement interne", qui prône le respect du lieu, le fait d'aider à creuser quand ils vont sur un autre champ de bosses que le leur. C'est une communauté assez forte et très soudée.

Le BMX dans la culture populaire
Le BMX est apparu tout d’abord en 1977 dans un épisode de CHiPs où Ponch et Jon, les deux héros de la police autoroutière de Californie, la California Highway Patrol montrent à la légende américaine Anthony Sewell comment sauter par dessus un trou de boue. En 1982, les personnages du film E.T. l'extra-terrestre Bob Haro, Mike Buff, R.L Osborn et d'autres gamins en BMX, se font poursuivre par des policiers en voiture. L'année d'après en 1983, le film australien Le Gang des BMX (BMX Bandits) où l'on voit l'un des premiers rôles de l'actrice Nicole Kidman, révèle les exploits de deux pros du BMX.

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Copyright: Dieter Kik
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Taken: 02/07/2011
上传: 04/08/2011
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Cornouaille Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Capitale historique Quimper Langue(s) Français - Breton Religion Catholique Superficie 5 979 Km² Population 456 307 (1999) Gwenn ha du.svg Portail de la Bretagne La Cornouaille (Kernev, Bro Gernev en breton) est un pays de Bretagne (à ne pas confondre avec la Cornouailles britannique, dont le nom s'écrit avec un "s"). Le gentilé de la Cornouaille bretonne est cornouaillais  e (le gentilé de la Cornouailles britannique est cornique). Étymologie Cornouaille se dit Kerne, Kernev ou Bro Gerne en breton, et Cornugallia en latin, parfois « Cornubia ». * Il est possible que ce nom lui ait été donné en référence à cette région de Cornouailles (Kernow), tout comme l'actuel Devon (ancienne Dumnonia) a donné son nom à la Domnonée qui désignait la côte Nord de la Bretagne au Haut Moyen Âge. * Selon une autre hypothèse qui a eu longtemps cours, le nom serait d'origine anglo-saxonne et signifierait « Le pays des étrangers » en référence au cantonnement des Celtes d'Outre-Manche par les envahisseurs angles, saxons, jutes et frisons. * Une troisième hypothèse, basée sur la traduction latine cornugallia, est invoquée par certains auteurs : cornugallia signifierait le coin de la Gaule, relativement à la situation géographique de la Cornouaille bretonne. Antiquité tardive Les deux Cornouaille(s) trouvent plus vraisemblablement leur origine commune à la fin du IIIe siècle : les incursions de pirates saxons, frisons et scots, associées aux pillages des bagaudes, contraignent les villes armoricaines (entre autres) à s'entourer en urgence de murailles dont les restes se voient encore à Alet, Brest, Nantes, Rennes et Vannes. Devant l'incurie de l'empire romain, le responsable de la défense des côtes, le ménapien Carausius (puis son successeur Allectus) établit entre 288 et 296 un empire séparé sur les côtes nord et sud de la Manche pour les garantir des invasions. L'empereur Constance Chlore les vainc en 293 et 296 et, ayant rétabli l'unité de l'empire de ce côté, organise la défense côtière en transférant des Bretons en Armorique à partir de 296-297. Ces Bretons sont des Cornovii, peuple sans doute fidèle à Rome et choisi pour ce motif. Le chef-lieu de leur cité est à Viroconium Cornoviorum (l'actuelle Wroxeter) et ils occupent plus au nord le port de Deva (Chester). Les Cornovii étant chargés du contrôle militaire des pointes occidentales de la Bretagne et de l'Armorique, c’est-à-dire de l'ouest de la Manche, leur nom se serait conservé en ces lieux. Il ne s'agit donc pas d'une colonisation massive comme cela arrivera au VIe siècle, mais d'une occupation militaire. Le Tractus armoricanus et nervicanus (administration militaire chargée du contrôle de toutes les côtes de Boulogne à la Gironde), et son bras armé, la Classis armoricana (Flotte armoricaine), ne sont créés proprement qu'en 370, sous le règne de l'empereur Valentinien Ier. Haut Moyen Âge D'autres princes sont dits avoir régné sur les côtes nord et sud de la Manche occidentale, comme le roi de Cornouaille Daniel Drem Rud au VIe siècle, et le fameux comte Conomor assimilé au roi Marc de la Cornouailles britannique (Marcus Cunomorus). Entre 815 et 839, Egbert annexe le royaume breton de Cornouaille. La Cornouaille armoricaine est mentionnée pour la première fois et indirectement entre 852 et 857 quand « l'évêque de Saint-Corentin », Anaweten, est qualifié de Cornugallensis (adj. latin dérivé de Cornugallia). L'existence d'une commune d'Anjou dénommée « La Cornuaille » a suscité une hypothèse qui en ferait une appellation géographique ou militaire couvrant toute la Bretagne du Sud et faisant pendant à la Domnonée sur le rivage Nord au VIe siècle ou VIIe siècle. Formation de la Bretagne Au IXe siècle, il semble que le nom de Poher (pour Pou-Caer = Pays de la Ville ou Pays du Château ou Pays de Carhaix) se soit substitué à celui de Cornouaille. Par la suite, il fut réservé à la vallée de l'Aulne, dont la capitale était Carhaix. À la fin du IXe siècle, le comté féodal de Cornouaille reprend le nom de l'ancien royaume. Sa dynastie accède au trône ducal, il passa à l'évêque de Quimper qui devient comte-évêque de Cornouaille jusqu'au XIe siècle où deux frères s'en répartissent les dignités. La Cornouaille de nos jours Composée de 218 communes (sur la base des communes actuelles), la Cornouaille comptait - au dernier recensement de 1999 - 456 307 habitants pour une superficie totale de 5 979 km². Le nom a été repris officiellement en 2001 pour sa partie au sud d'une ligne Châteaulin-Scaër pour la circonscription de programmation « Pays de Cornouaille » composée de 112 communes (loi Voynet, 1999)


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